Bonne ou mauvaise nouvelle du Saguenay Lac St-Jean ?????????

Bonne saison au paradis de la motoneige!

]i]ERRATUM
Quelques erreurs se sont glidées dans la carte des sentiers motoneige 2010-2011. Veuillez prendre notre des corrections suivantes:
À l'Orée des Champs : Entreprise de service n'offrant pas d'hébergement sur place.
Les Gîtes Makadan : Classifié 4 soleils et non 2 soleils.
Brise du Lac Tchitogama : Coordonnées GPS ( N 48°49,807’/ W -71°03,829’)
[/i]

La saison est commencée!
Plus de 300 km de sentiers ont été ouverts sur le massif des Monts-Valin (versant Est) en fin de semaine dernière.

Sentiers ouverts
Trans-Québec#93 du Valinouët à la Chapelle
#267 Bras de Louis Dugal
#477 Bras de Louis au Relais Onatchiway
#93 à la C900 (Chapelle jusqu’au refuge)
#252 C900
#251 Brumes
#254 Betsiamites
#264 Bras de l’enfer jusqu’au km 12
Sentier des Sommets

POINTS DE DÉPART (STATIONNEMENT)
Valinouët
KM 12-25-31 du côté Saint-Fulgence (Abitibi Consolidated)

L'hiver est arrivé au Saguenay-Lac-Saint-Jean!

04-12-2010

Les pistes du Valinouet a l'auberge fini, scrap, bref un vrai snowcross.

tr7 a écrit:

04-12-2010

Les pistes du Valinouet a l'auberge fini, scrap, bref un vrai snowcross.

Il y a trop de monde ou manque de neige tr7?
Je vas allez vendredi si il neige

Homeplaya a écrit:

tr7 a écrit:

04-12-2010

Les pistes du Valinouet a l'auberge fini, scrap, bref un vrai snowcross.

Il y a trop de monde ou manque de neige tr7?
Je vas allez vendredi si il neige

les 2 probablement

Louis Potvin
Le Quotidien


(SAINT-FÉLICIEN) Les sentiers de motoneige créent encore des remous à Saint-Félicien. Des résidants du rang de la Rivière-aux-Saumons déplorent le fait que les motoneiges passent trop près de leur résidence.
«Il y a des motoneigistes qui circulent rapidement et en plus c'est dangereux à certains endroits. Ce n'est vraiment pas l'idéal», a mentionné au Quotidien un citoyen qui préfère garder l'anonymat.

Le club de motoneige du Relais des buttes de Saint-Félicien n'a pas le choix de réaliser un tracé le long de cette route pour atteindre leur relais. Avec le refus du Zoo sauvage d'accorder un droit de passage sur son terrain et celui d'une résidante de ce secteur, un sentier a été aménagé le long de la route dont des sections passent près de plusieurs maisons. Une situation temporaire, a signalé le maire Gilles Potvin.

«Les gens doivent être compréhensifs et tolérants. Nous allons baliser parfaitement le sentier et y mettre des panneaux pour la limite de vitesse. Le club n'a pas le choix de faire le sentier à cet endroit, il n'y a pas d'autre solution», a-t-il affirmé lors de la séance du conseil municipal de lundi soir.


Exagérations

C'est justement les exagérations de certains motoneigistes qui choquent les gens vivant dans ce secteur. «La fin de semaine, il passe plus de 100 motoneiges par jour et au moins un sur cinq roule en fou. C'est bruyant et désagréable», indique un autre citoyen.

Gilles Potvin demande donc un peu de civisme de la part des motoneigistes afin d'assurer la quiétude des gens. «Si nous voulons que ça fonctionne, il doit y avoir de la bonne volonté et du savoir-vivre de la part des motoneigistes», a-t-il déclaré.

Ce dernier promet que la Sûreté du Québec va veiller à ce que les limites de vitesse soient respectées.

Un des citoyens qui a parlé au Quotidien craint pour la sécurité des motoneigistes. «Quand on descend la côte qui mène au pont, on ne voit pas très bien à cause d'une courbe, c'est très dangereux. J'espère qu'il n'y arrivera pas d'accident», signale-t-il.

En effet, les motoneigistes doivent emprunter la route pour passer sur un pont et traverser le chemin pour atteindre une autre portion du sentier. «Il y en a qui traverse n'importe comment et le soir ce n'est pas évident, les motoneiges ne sont pas visibles. Le secteur de la voie ferrée n'est pas vraiment mieux, les motoneiges se retrouvent en bordure de la route, il y a aussi des risques d'accident», mentionne la seconde personne.

Les deux citoyens déplorent le vacarme que font les motoneiges en soirée, mais disent prendre leur mal en patience.

Le maire Gilles Potvin s'est engagé à trouver une solution en 2011 pour éviter que les motoneigistes passent dans ce secteur de villégiature.

Lpotvin@lequotidien.com

Faire un ménage
Le Quotidien


Ce n'est pas un pavé que le maire de Saguenay, Jean Tremblay, a jeté dans la mare dans le dossier de la motoneige. C'est une poutre de l'ampleur du paralume qui s'est écrasé, récemment, sur une autoroute montréalaise!
Depuis que la capitale régionale a confirmé, la semaine dernière, son intention de dédommager financièrement les propriétaires des terres empruntées par les sentiers de motoneige qui serpentent sur son territoire, les réactions fusent. Plus les jours passent, plus les opinions se polarisent. À l'exception des représentants des clubs de motoneigistes, et évidemment des propriétaires de terrains concernés, à peu près tous déplorent désormais la position de Saguenay. Pas étonnant, dans ces circonstances, que les membres de la Conférence régionale des élus (CRÉ) aient formulé un appel au calme, hier, afin d'assurer de futures discussions plus constructives entre les divers partenaires concernés! Cette cascade d'événements témoigne de deux réalités. D'abord, que l'industrie de la motoneige a besoin de revoir ses structures de fond en comble, exercice qui a déjà trop tardé, d'ailleurs. Puis, que les méthodes franches et directes du premier magistrat saguenéen ne sont pas toujours prisées par ses collègues.


Ménage



Les récents événements démontrent qu'un ménage est devenu inévitable au sein des structures qui chapeautent l'industrie de la motoneige dans la région, mais aussi dans l'ensemble du Québec. L'idée n'est pas de remettre en question le travail des dizaines de bénévoles qui oeuvrent année après année à l'intérieur des divers clubs saguenéens et jeannois. Leurs efforts ont permis de jeter les bases d'un loisir devenu avec le temps un moteur économique majeur en période hivernale. Pourtant, il est indéniable que le modèle d'organisation actuel de l'industrie a fait son temps. Il n'est pas normal qu'un secteur d'activités qui génère des millions en retombées ne soit pas capable d'assurer sa pérennité. Qu'il ne soit pas en mesure, saison après saison, d'assurer l'entretien de ses sentiers, l'ouverture des pistes dès que l'hiver s'installe. Qu'il soit réduit chaque année à effectuer des campagnes pour amasser des subventions...


Dans la région, le moment semble bien choisi pour amorcer un véritable regroupement des ressources, alors justement, que la CRÉ et ses comités de travail cherchent à identifier un réseau permanent de pistes de motoneige et de quad et s'activent à développer à cette fin des outils novateurs. Alors, pourquoi ne pas créer un seul club de motoneige chargé de gérer les sentiers de toute la région? Sinon, pourquoi ne pas en créer un au Saguenay et un au Lac-Saint-Jean? Cette mise en commun permettrait de maximiser les revenus et de contenir les dépenses. Elle permettrait d'optimiser le travail des bénévoles. Elle faciliterait la recherche de subventions, en cas de besoins imprévus. Surtout, une telle «fusion» permettrait de répartir plus équitablement le fardeau d'entretenir et de gérer les sentiers les plus intéressants.


Rôle


Québec et la fédération nationale qui chapeaute l'industrie de la motoneige ont aussi un rôle à jouer. Sans aucun doute, il faut encore revoir le partage des sommes distribuées notamment via les coûts d'immatriculation afin de tenir encore mieux compte des besoins des différentes régions, des réalités propres à chacune. Ici, les sentiers sont longs et nombreux. La saison est aussi plus longue qu'ailleurs. Sur ces aspects, il faut une forte volonté politique, mais aussi une réelle volonté d'agir, ce qui n'est pas la même chose...


Du reste, les multiples attaques contre le maire Jean Tremblay constituent une autre preuve que son approche de la sphère publique dérange. C'est un fait, ce dernier n'aime pas les tables de réflexion, les instances de concertation. Il préfère agir, seul contre tous s'il le faut, s'il estime avoir une bonne solution à un problème. Parfois, cela donne des résultats plus positifs, d'autres fois non. Au moins, cela a le mérite de faire bouger des dossiers enlisés depuis des lunes... Les prochaines semaines permettront de constater les effets concrets de son dernier coup d'éclat et de l'appel au calme de la CRÉ.

Laura Lévesque
Le Quotidien
(CHICOUTIMI) L'entente signée entre la Ville de Saguenay et les propriétaires de terres agricoles reçoit sans surprise un accueil mitigé dans les différents clubs de motoneigistes de la province. Cette nouvelle pratique a été largement débattue au dernier congrès de la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec, causant même des tensions entre les différents représentants.

«Ça n'a évidemment pas fait l'unanimité. On nous reproche de faire cavalier seul. Plusieurs disaient que cette entente allait nuire à leur club parce qu'ils auront du mal à trouver du financement pour dédommager les propriétaires de terres. J'ai essayé de leur faire comprendre que toute initiative positive devait être bien accueillie. À mon avis, il faut saluer le fait que quelqu'un prenne le «lead» dans ce dossier», soutient le président du club Caribou-Conscrits, Yves Simard, qui revient du 37e congrès de la Fédération qui s'est déroulé en fin de semaine à Rivière-du-Loup.

Entente

Rappelons que l'entente conclue au début du mois de septembre vise à garantir le passage des motoneigistes sur les terres agricoles. Promotion Saguenay investira 200 000$ par année, sur trois ans, pour indemniser les agriculteurs et autres propriétaires terriens. Ces derniers recevront en moyenne 900$ du kilomètre pour les droits de passage.

// La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien

Avec ça, tout le monde propriétaire agricole, forestier et terrien vont vouloir avoir une pointe de tarte.

ont avais tu besoin de ça cette année !!!!!!!!!

Parlez-en en bien, parlez-en mal, mais parlez-en !


http://www.lelacstjean.com/Actualités/2011-09-19/article-2753072/Motoneige-Ca-va-prendre-une-structure-regionale-solide-Robert-Bilodeau/1

Presse
Isabelle Tremblay
Le Quotidien


(ROBERVAL) La tension monte entre le préfet de la MRC Domaine-du-Roy, Bernard Généreux, et le maire de Saguenay, Jean Tremblay. Selon M. Généreux, les déclarations incendiaires et sorties publiques du maire Tremblay sont une véritable insulte pour lensemble de la région.
Cette guerre ouverte que se livrent les deux élus a pris de lampleur en début de semaine, à la suite des propos tenus par Jean Tremblay en lien avec le récent règlement survenu entre Saguenay et les agriculteurs dans le dossier de la motoneige.


En entrevue sur les ondes de la station radiophonique Radio X lundi, Jean Tremblay a mentionné quil avait voulu «foutre le bordel» en concluant cette entente. La déclaration a fait sortir de ses gonds Bernard Généreux.



«Cétait exactement le but visé, vous navez pas vu ça? Le but visé, cétait ça», a lancé le maire à lanimateur qui lui a alors demandé «de foutre le bordel? «. Et le magistrat de répondre «Ben oui! Tout le monde va venir ici. Voyons donc, je travaille pour Saguenay, je ne vous comprends pas! « a ajouté Jean Tremblay.

«On savait très bien que le reste de la province, que le Lac-Saint-Jean, que tout le monde ne serait jamais capable de sorganiser; que seulement nous serions capables de nous organiser. On le savait! On sest dit: si on est organisé et que les autres ne le sont pas, ils vont être obligés de venir ici», poursuivait le maire de Saguenay. «Tu vas me dire: je mets le bordel partout. Cest ça que je veux, tant mieux!», a-t-il ajouté.// La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien


c'est certain qu'ont monté la toute les fin de semaine

Yé donc bein sans dessin

Le Quotidien


(ROBERVAL) L'organisation des fêtes du 175e anniversaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean démarre dans la controverse.
Le maire de Dolbeau-Mistassini, Georges Simard, et le préfet de la MRC Maria-Chapdelaine, Jean-Pierre Boivin, n'ont pas le coeur à la fête.

Présent lors de la conférence de presse marquant le lancement des fêtes du 175e anniversaire de la région, Georges Simard était visiblement en rogne. Il a dit être profondément choqué de l'attitude adoptée par le maire de Saguenay, Jean Tremblay, relativement aux propos qu'il a tenus, cette semaine, concernant son intention de mettre le bordel dans le dossier de la motoneige, ce qui a créé un profond malaise dans la salle. « Il y a beaucoup d'insouciance dans ses affirmations, c'est grave ! Le Lac-Saint-Jean n'a pas à être traité de la sorte. Il nous considère comme des moins que rien. Lui, il ne fera rien, mais son entourage doit faire quelque chose », a affirmé M. Simard, invitant le maire de la plus grande ville de la région à se responsabiliser et à traiter tout le monde sur un même pied d'égalité.

Georges Simard a tenu à lancer un message clair à l'organisation des festivités du 175e du Saguenay-Lac-Saint-Jean, l'invitant à s'assurer que l'organisation des fêtes soit faite de manière concertée, tant pour le Lac-Saint-Jean que pour le Saguenay.


« Ce n'est pas la fête d'un seul secteur, mais bien d'une région au complet. On devrait être considéré davantage ».

Visant le maire de Saguenay, Jean Tremblay, qui n'était pas présent à la conférence de presse qui se déroulait en simultané dans sa ville, Georges Simard a rappelé que ces fêtes ne concernent pas une personne, mais bien une région.

Lire la suite dans Le Quotidien, demain

Un party, deux régions !
Isabelle Tremblay
Le Quotidien


(ROBERVAL) L'organisation des fêtes du 175e anniversaire du Saguenay-Lac-Saint-Jean démarre dans la controverse.
Le maire de Dolbeau-Mistassini, Georges Simard, et le préfet de la MRC Maria-Chapdelaine, Jean-Pierre Boivin, n'ont pas le coeur à la fête.


Présent à la conférence de presse des responsables des fêtes du 175e, Georges Simard était visiblement en rogne et profondément choqué des propos du maire de Saguenay dans le dossier de la motoneige.



Rappelons que Jean Tremblay a dit qu'il avait l'intention de «foutre le bordel en s'entendant avec les agriculteurs dans le dossier de la motoneige». Il en a rajouté en invitant les élus des autres villes à copier l'entente conclue par Saguenay avec les agriculteurs en déclarant: «ils sont jaloux, c'est leur problème.»


«Il y a beaucoup d'insouciance dans ses affirmations, c'est grave! Le Lac-Saint-Jean n'a pas à être traité de la sorte. Il nous considère comme des moins que rien. Lui, il ne fera rien, mais son entourage doit faire quelque chose», a affirmé M. Simard, invitant le maire de la plus grande ville de la région à se responsabiliser et à traiter les élus avec respect.


Le Dolmissois a invité l'organisation des festivités du 175e du Saguenay-Lac-Saint-Jean à agir de manière concertée.


«Ce n'est pas la fête d'un seul secteur, mais bien d'une région au complet. On devrait être considéré davantage».


Visant le maire de Saguenay, Jean Tremblay, qui n'était pas présent à la conférence de presse qui se déroulait en simultané dans sa ville, Georges Simard a rappelé que cette fête ne concerne pas une personne, mais toute une région.


Un choix judicieux?


Le maire de Dolbeau-Mistassini a soulevé quelques interrogations au sujet de la partialité dans l'embauche de la directrice générale des fêtes du 175e, Line Gagnon.


«Prenez par exemple le choix de la directrice générale des fêtes. Elle a été directrice de la dernière campagne électorale de Jean Tremblay, donc tout a été orchestré par ce dernier. Or, il ne faut pas avoir des comptes à rendre à un seul homme», a lancé Georges Simard.


// La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien

CATHERINE DELISLE
Le Quotidien


(CHICOUTIMI) Les réunionnites aiguës donnent de l'urticaire au maire de Saguenay, Jean Tremblay. Comme le dossier de la motoneige n'en finit plus de finir, que les tables de concertation succèdent aux rencontres et autres conférences, entretiens, échanges, pourparlers et tutti quanti ... sans jamais aboutir, il a réglé le problème. À sa façon. Les agriculteurs recevront une indemnité de Promotion Saguenay pour permettre aux motoneigistes de circuler sur leurs terres et ainsi avoir accès aux monts Valin.
Je comprends que le ministre Norman MacMillan a demandé de développer des sentiers permanents de motoneige et de quad et que la CRÉ planche sérieusement là-dessus. Même qu'un rapport, qui est supposé tout régler, est sur le point d'être rendu public.

Mais, voilà. Le maire Tremblay ne croit plus à l'aboutissement de ce dossier. Pour une bonne raison. Ça fait des années qu'on louvoie, qu'on nage en plein psychodrame dès que l'automne se pointe. Je ne compte plus les nouvelles à la?une?des médias pour dire que la saison de motoneige est en péril. C'est un dossier récurrent, éminemment complexe, qui n'a jamais connu de résultat. En réglant le problème au Saguenay, le maire a réalisé un bon coup, car la motoneige représente un apport économique important. Il a réussi là où tout le monde échoue depuis des années.

Bordel


En lançant bêtement que son idée était de foutre le bordel partout, Jean Tremblay a commis une maladresse. Il aurait dû avoir le succès modeste, surtout qu'il avait court-circuité toute l'industrie et les politiciens.

Par ses déclarations intempestives, Jean Tremblay provoque inutilement les élus régionaux. Le temps n'est pas à la confrontation, mais à la solidarité. La crise du bois est loin d'être terminée. AbitibiBowater est en pleine réorganisation. Les défis à relever sont de taille et exigent que les régionaux s'unissent.

Va-t-on célébrer le 175e anniversaire de la région sur fond de controverse? En tout cas, le moins qu'on puisse dire c'est que Jean Tremblay n'est pas passé maître dans l'art de la diplomatie. Mais, cela, il s'en fout.

Brigitte Trahan
Le Nouvelliste


QUI VAS PAYÉ ????????????

(Trois-Rivières) La Fédération de l'Union des producteurs agricoles de la Mauricie, qui tenait jeudi son assemblée générale annuelle, est en train d'examiner la possibilité d'une entente afin d'harmoniser les relations entre les producteurs et les motoneigistes qui circulent sur leurs terres en hiver.
Bien qu'il soit encore loin de la coupe aux lèvres, le président de la FUPAM, Martin Caron, ne nie pas que certains producteurs commencent à envisager l'idée de faire comme au Saguenay et charger un prix pour permettre la circulation sur leurs terres. «Ce n'est pas nécessairement quelque chose qui est écarté. Mais on n'est pas rendu là au niveau de la région. Il faut aller un peu plus loin dans nos consultations», plaide-t-il.

Rappelons qu'une entente est survenue, en septembre dernier, entre la Ville de Saguenay et les agriculteurs au sujet d'un droit de passage qui permettra aux agriculteurs de se partager 200 000 $ en compensations, soit 900 $ du kilomètre. M. Caron fait valoir que les producteurs sont propriétaires de leurs terres et peuvent décider ce que bon leur semble, à ce chapitre.

Mais la FUPAM, de son côté, n'entend pas refaire de blocus des sentiers de motoneiges qui passent par les terres agricoles, comme l'an dernier, alors qu'elle protestait contre le plan de redressement de la Financière agricole. «On siège à une table (la Table des véhicules hors route) et on travaille étroitement avec la Fédération des clubs de motoneigistes», dit-il.


La FUPAM souhaite que le milieu agricole soit «partie prenante du développement de la région et l'on se doit de respecter tout le monde là-dessus», fait valoir M. Caron. Toutefois, précise-t-il, le passage des motoneiges sur les terres cultivables n'est pas toujours sans causer certaines problématiques, fait-il valoir.

«On essaie d'avoir un comité pour résoudre ces problématiques, c'est-à-dire s'il y a des dommages au niveau des cultures, s'il y a du vandalisme, voir de quelle façon on fonctionne avec les assurances», explique-t-il. Le président reconnaît toutefois que le milieu agricole est aussi gagnant au niveau du tourisme que la motoneige apporte en région. «C'est pour ça qu'on est partie prenante, mais il faut être capable d'aménager les choses et d'amener tout le monde à une vision du développement en région», fait-il valoir.

Si la FUPAM se montre prudente, pour l'instant, dans ses prises de positions, c'est qu'elle attend les résultats de la réunion du conseil d'administration de la Financière agricole qui se tiendra aujourd'hui pour voir s'il y aura un peu plus d'ouverture, notamment envers les producteurs de porcs qui sont de plus en plus nombreux à faire faillite.

«Il y a six semaines, on a rencontré le ministre de l'Agriculture et on lui a fait part des problématiques qu'on vivait en région, entre autre avec les producteurs de porcs et les producteurs de bovins et on lui a dit que c'était lui, le grand patron. C'est le ministre de l'Agriculture et le gouvernement qui est en place qui doivent se servir de cet outil qu'est la Financière pour vraiment développer l'agriculture», fait valoir M. Caron.

Gaz de schiste

D'autre part, l'UPA a envoyé une délégation en Pennsylvanie, récemment, pour étudier de plus près la question des gaz de schiste. On sait que l'UPA de la Mauricie avait pris position en faveur d'un moratoire, l'an dernier, position qui n'a pas été retenue par l'UPA du Québec. Toutefois, il en était ressorti que les agriculteurs, qui investissent de plus en plus pour protéger l'environnement, souhaitent que l'État ait un rôle de protecteur à jouer.

Du côté des producteurs de la Mauricie, résume M. Caron, «on veut être sûr que ce soit blindé partout».

Brigitte Trahan
Le Nouvelliste


(Trois-Rivières) Si jamais les agriculteurs de la Mauricie décidaient d'imiter ce qui se passe au Saguenay, le directeur général de Tourisme Mauricie, André Nollet, se demande bien qui va payer la facture.
«Ici, en Mauricie, si le coût est de 900 $ le kilomètre, on parle d'un coût moyen d'autour de 800 000 $ à 900 000 $», dit-il. «Moi je ne sais pas qui va payer ça.»

M. Nollet pouvait malgré tout difficilement commenter ce que certains producteurs de la région commencent à envisager, c'est-à-dire de faire payer les véhicules hors route pour emprunter leurs terres. «Les terres leur appartiennent, donc la décision leur appartient», résume-t-il.

Malgré tout, le dialogue se poursuit, non seulement avec les producteurs, mais aussi avec le milieu forestier et les propriétaires de terres privées réunis au sein de la Table sur les véhicules hors route.


«Il est actuellement question d'établir un réseau de sentiers permanents afin de régler certaines problématiques qui se rencontrent aussi en milieu urbain et forestier pour les usagers des sentiers», explique M. Nollet.

«Il y a nécessairement une partie du réseau (actuel) qui va disparaître parce qu'il y a des places qui sont tellement problématiques qu'on ne pourra jamais arriver à résoudre les passages à ces endroits-là», dit-il.

Par exemple, il arrive qu'en zone forestière, les compagnies «décident qu'elles changent d'endroit pour couper et qu'elles ne nous le disent pas, ou on l'apprend au mois de décembre ou sinon au moins de janvier», illustre le directeur.

Le 15 novembre, les membres de la Table VHR rencontreront le ministre délégué aux Transports, Norman MacMillan, à ce sujet.

M. Nollet explique que la question des compensations pour les droits de passage sur les terres agricoles, forestières et privées «a été abordé à la Table VHR».

«Mais Jean Tremblay (le maire de Saguenay), nous est arrivé avec un lapin qui est sorti du sac», déplore-t-il. «Je vois mal négocier ça à un mois et demi de la saison de motoneige. Ça serait sûrement bénéfique pour ceux qui le toucheront, s'ils le touchent, mais ça va prendre quelqu'un pour payer», de conclure André Nollet.

Marc St-Hilaire
Le Quotidien


(ALMA) La MRC de Lac-Saint-Jean-Est ne ferme pas la porte à une entente unilatérale avec les agriculteurs de son territoire, à l'image de ce qui a été réalisé à Saguenay, afin de garantir un accès aux sentiers de motoneige cet hiver.
Jeudi soir, une importante rencontre a eu lieu à Alma. Celle-ci impliquait notamment les dirigeants de la MRC, les représentants de clubs de motoneige, les principaux acteurs de l'industrie touristique et de nombreux agriculteurs. Cette assemblée, tenue derrière des portes closes, était une initiative de la MRC. La rencontre avait pour objectif de connaître plus en détail la réalité du monde agricole par apport à l'industrie de la motoneige.

Inévitablement, la discussion a gravité autour des compensations versées aux propriétaires terriens de Saguenay, mais il a également été question du manque de respect qui mine trop souvent la relation entre agriculteurs et motoneigistes.

En entrevue, le préfet André Paradis explique que tous s'entendent sur la nécessité de compenser ceux qui donnent accès à leurs terres. « Nous ne sommes plus en 1954, alors que les gens faisaient des sentiers pour aller chercher du bois en forêt. Aujourd'hui, les pistes de motoneige sont directement liées à l'industrie touristique et il faut en être conscients », confie-t-il.


Le préfet Paradis ajoute en ce sens qu'une solution doit être envisagée pour la saison 2011 et qu'il serait impensable d'attendre le dénouement des travaux réalisés par la Conférence régionale des élus (CRÉ).

« Tout le monde sait pertinemment que ces travaux ne seront pas exécutés d'ici le début de la saison. Nous devons donc regarder ce que nous pouvons faire pour assurer un climat harmonieux sur notre territoire », exprime-t-il.

Selon lui, bien que le principe de compensations ait été abordé par les intervenants présents lors de la rencontre, aucun montant précis n'a été évoqué.

Campagne de sensibilisation

André Paradis signale par ailleurs que le civisme a été au coeur de ces premiers pourparlers. « Je dirais qu'au-delà de l'aspect financier, ce qui dérange davantage les agriculteurs est le manque de respect de certains motoneigistes lorsque ceux-ci circulent sur leurs terres. Certains d'entre eux brisent les champs en ne se limitant pas aux sentiers balisés. C'est tout à fait inacceptable », dit-il.

Sensibles aux griefs manifestés par les agriculteurs, les dirigeants de la MRC ont ainsi décidé de défrayer les coûts d'une vaste campagne de sensibilisation, laquelle s'articulera au cours des prochains jours. Le budget alloué à cette démarche devrait atteindre entre 10 000 et 15 000 $.

« Nous avons pris l'engagement de tout faire pour enrayer cette problématique. Personnellement, je comprends très bien les préoccupations des agriculteurs. Moi non plus, je n'aimerais pas qu'on vienne briser mon terrain », illustre le préfet.

Impliquer davantage les agriculteurs

Également présent à cette rencontre, le maire d'Alma, Marc Asselin, a quant à lui suggéré à la Chambre de commerce et d'industrie de Lac-Saint-Jean-Est qu'ils intègrent davantage les agriculteurs.

« Je crois qu'il serait intéressant qu'on crée une aile agricole à la CCI. Même à la ville d'Alma, je considère que l'interaction avec les agriculteurs pourrait être améliorée. Je me promets d'y voir », avance-t-il lorsque questionné sur la réunion.

Enfin, Marc Asselin se dit surpris que certains clubs de motoneige exigent des agriculteurs qu'ils paient leur carte de membre chaque année.

« Je suis conscient que cet argent sert à l'entretien des sentiers, mais je trouve quand même bizarre qu'on demande à quelqu'un de payer pour circuler sur ses propres terres

Marc St-Hilaire
Le Quotidien


L'industrie de la motoneige est assurée pour les trois prochaines années dans Lac-Saint-Jean-Est. Les agriculteurs du territoire s'engagent, en effet, à autoriser la circulation sur leurs terres pour les trois prochaines saisons hivernales, moyennant une compensation annuelle de 100 000 $.


Le suspens a duré jusqu'à cet après-midi. En matinée, toutes les parties concernées par ce dossier se sont réunies pour une ronde de négociations finale. Au terme de la rencontre, aucun terrain d'entente n'avait été défini et tout laissait croire à une impasse.

Or, après discussions, les représentants du monde agricole ont finalement accepté la proposition conjointe de la MRC, de la Chambre de commerce et des clubs de motoneigistes de Lac-Saint-Jean-Est, pour une durée révisée de trois ans.

Tard jeudi soir dernier, les agriculteurs avaient refusé les termes de cette même entente, qualifiant celle-ci d'incomplète et d'inacceptable sur plusieurs points. Notamment, ils s'objectaient de façon catégorique à la signature d'un pacte de cinq ans, tel que le souhaitaient la MRC et ses partenaires.


La suite dans Le Quotidien, demain




Misere ! moi aussi je vais leur demandé 20.00 pour passé chez nous tant qu'a y etre , sa mene direct a station de gaz et sa couperais le secteur en deux.



Imaginé l'an prochain toute les demande que les clubs vont devoir négocier


Belle façon de tué notre activité ou de la concentré en zone restreinte.

Maire Tremblay de mon Q

François St-Gelais
Le Quotidien


Les agriculteurs du territoire de la MRC Lac-Saint-Jean-Est ont accepté, lundi, de se partager une enveloppe annuelle de 100 000$ au cours des trois prochaines années pour compenser le passage, sur leurs terres, des motoneigistes. Cette entente a mis fin à plusieurs longues séances de discussions entre les élus de la MRC et les propriétaires terriens.


Cet accord certifie que les amateurs de motoneiges d'ici et de l'extérieur pourront pratiquer leur activité sans crainte de boycottages, d'imprévus ou de moyens de pression, dans cette portion du Lac-Saint-Jean. Il s'agit donc d'une excellente nouvelle pour le milieu local, qui est également assuré de pouvoir profiter des intéressantes retombées économiques engendrées par ce loisir. Une nouvelle stabilité qui est la bienvenue dans le contexte actuel, même si, au départ, la MRC souhaitait parapher une entente d'une durée de cinq ans. Bref, il ne manque plus que la neige pour que les moteurs rugissent...



Tumulte




Par cette entente, les élus de la MRC Lac-Saint-Jean-Est adoptent exactement le même modèle que celui décrété par le maire de Saguenay, Jean Tremblay, en septembre dernier. Inquiet de la tournure des événements dans le dossier de la motoneige et soucieux d'assurer l'ouverture des sentiers reliant sa ville à la Réserve faunique des Laurentides d'un côté et aux secteurs des monts Valin de l'autre, le premier magistrat a, le premier, décidé de dédommager les propriétaires des terres où serpentent les pistes de motoneige.



Le geste a généré le tumulte, suscité un tollé de protestations auprès de certains élus et au sein de plusieurs instances. Il faut admettre, cependant, que le maire Tremblay a jeté de l'huile sur le feu, accordant une entrevue au ton un peu trop triomphant sur les ondes d'une station de radio saguenéenne alors que la controverse battait encore son plein... Mais, il reste que ce dernier avait, sur le fond, raison de prendre cette décision.



La preuve, c'est que les élus de la MRC jeannoise ont choisi de s'engager dans cette voie. Et que, dans d'autres régions, notamment en Mauricie, on songe également à imiter ce modèle. Car, il donne des résultats et il permet de régler une partie des problèmes structurels qui affligent de façon chronique l'industrie de la motoneige.



Bref, on a reproché à Jean Tremblay d'avoir agi trop rapidement dans le dossier de la motoneige, d'avoir occulté, voire torpillé, les efforts de concertation lancés par la Conférence régionale des élus (CRÉ), qui travaille à l'identification d'un sentier régional permanent de motoneige et de VTT et qui, pour ce faire, a développé des outils cartographiques novateurs. C'est en partie vrai. Sauf que le coup d'éclat de Saguenay a obligé toutes les parties impliquées dans cette industrie à passer à l'action. Du moins à réfléchir avec plus de sérieux aux problèmes. Il a rendu le statu quo intenable.



Et, il demeure que tandis que l'hiver approche, les travaux de la CRÉ, qui s'inscrivent dans la volonté du gouvernement du Québec d'identifier un réseau national de sentiers permanents, n'ont pas encore donné de résultats tangibles.



Stratégies



À court terme, donc, les stratégies adoptées par Saguenay et la MRC Lac-Saint-Jean-Est assurent donc que les sentiers de motoneige de ces territoires seront accessibles pour quelques années. C'est un gain. Toutefois, plusieurs autres problèmes cruciaux de cette industrie restent à être réglés de façon durable. Les nombreux clubs de motoneige de la région manquent de fonds pour assurer l'entretien des sentiers, une situation récurrente. De plus, même si le ministère des Transports a soutenu et réitéré régulièrement sa volonté d'instaurer des sentiers permanents pour véhicules hors route, même si la CRÉ travaille avec sérieux à ce dossier, rien n'assure que ce réseau de pistes finira par voir le jour, ni que le financement et le soutien concret et nécessaire du gouvernement seront finalement au rendez-vous.



Les ententes conclues avec les agriculteurs par Saguenay et la MRC jeannoise permettent à l'industrie de souffler un peu dans ces secteurs respectifs, pour quelques années. Ces exemples inciteront probablement d'autres élus à faire de même éventuellement. Mais, ces mesures ne restent que des solutions temporaires. À long terme et sur l'ensemble du dossier, rien n'est encore totalement réglé.

Chicoutimi) Le sentier de motoneige numéro 134, dans le secteur de Saint-Jean Vianney, sera dorénavant accessible aux amateurs de ce loisir hivernal. En fait, le sentier pourra être utilisé dès que l'ensemble des sentiers seront ouverts.

Le conseiller municipal et président du comité VHR de Saguenay, Fabien Hovington en a fait l'annonce. Des investissements totaux de 175 000 $ et une grande diminution de la circulation des travailleurs de Produits forestiers Résolu et de Rio Tinto Alcan permettront ce retour.

«Ce sentier avait été fermé en 2006 à la suite d'une correspondance du ministère des Transports du Québec étant donné que le pont de la Chute Wilson n'était plus en état de supporter la circulation. Saguenay a réalisé des travaux importants au coûts de 150 000 $ et cela avait permis la réouverture du pont pour permettre aux 400 travailleurs d'AbitibiBowater et de Rio Tinto Alcan d'y circuler pour la réalisation de travaux de leur compagnie respective. À ce moment, seuls les utilisateurs de véhicules tout-terrain (Quads) pouvaient utiliser le secteur», indique Fabien Hovington.

Mais les motoneigistes ne pouvaient toujours pas circuler dans le secteur en raison de la forte activité industrielle reliée à des travaux d'investissements de 40 M$ et 60 M$ de la part des deux multinationales.


C'est ou St-Jean Vianney et la tral 134 ??????

Le Quotidien


(SAINTE-ROSE-DU-NORD) Le maire de Sainte-Rose-du-Nord, Laurent Thibeault, espère être en mesure de résoudre, au cours des prochaines heures, le litige entre le propriétaire d'un lot à bois et le club Caribou Conscrit puisqu'il empêche les motoneigistes d'atteindre le village et la Pourvoirie du cap au Lest.


Le maire Thibeault avait pourtant réalisé une démarche auprès du propriétaire au cours des derniers mois afin de s'assurer qu'il accepte de signer l'entente avec le club de motoneige Caribou Conscrit. Celui-ci entretient la bretelle qui relie le village au vaste réseau de sentiers qui couvre les monts Valin et permet de relier les sentiers provinciaux. En raison de sa situation géographique, enclavée entre la route régionale et le Saguenay, il n'existe aucun autre sentier pour désenclaver la municipalité.

«Tout était réglé avec le propriétaire. Il a toutefois constaté la présence des bénévoles du club de motoneige sur ses terres, alors qu'il n'avait pas encore signé l'entente. Je ne contesterai jamais le droit à la propriété privée et, à ce titre, le citoyen a décidé de ne pas signer l'entente avec le club et réclame aujourd'hui un montant plus élevé que prévu. Il a réagi à la présence de personnes sans autorisation sur sa propriété», indique le maire Laurent Thibeault, qui refuse toutefois de dire comment il pourra convaincre le propriétaire d'accorder le droit de passage.

La suite dans la version papier du Quotidien, demain



Tout ça grace au bon Maire Tremblay !!!!!!!!