UPA: Règlement éminent ?

ca se trouve ou au juste saint-prosper?

A coté de St-George de beauce

Pour revenir a ce citadin qui a surement toujours vécu dans le gros traffic et le bruit infernal qui vas avec !!! décide d'allé en campagne pour se reposer dans le grand silence et pret a tout faire pour que personne nuise a sa quiétude !!! mais !! veut changé les habitude de tout son voisinage !!!
Sa me fait pensé a un autre au gros nombril qu'ont a déja vu pres de Mont-Laurier qui a barrer la trail completement en arriere de sa terre et il pensais s'en débarrasser... mais le club a eu autorisation des 2 voisins de chaque bord de le contourné sur ses 3 coté et le smatt c'est ramassé avec la trail sur le bord de la route juste en face de chez lui !!! Alors au lieu de les avoir a 1 milles en arriere sans meme les entendre, il c'est ramassé avec la trail a 100 pieds de sa maison !!! sa semble un autre qui veut son droit de propriété a tous ... belle mentalité !


Rappelons que M. Boulerice est ce retraité de Montréal venu s'installer dans le secteur de Saint-Prosper pour pouvoir jouir calmement de la nature.Avant d'acheter un terrain, il s'était bien assuré qu'aucune piste de motoneige ne le traversait. Or, son beau projet a tourné au cauchemar, lorsqu'il a réalisé que le sentier interrégional de motoneige numéro 3 passait en front de sa propriété, et ce après qu'il eut refusé au Club de motoneige de Champlain la permission de passer sur son terrain, comme cela s'était fait par le passé avec un autre propriétaire.

Le club décida donc d'emprunter le chemin public, à moins de 50 pieds de sa propriété.
Après un premier hiver infernal, M. Boulerice dit avoir été réconforté par le maire Michel Grosleau qui lui a dit avoir trouvé une solution. Confiant, M. Boulerice décida alors de construire une maison pour remplacer son modeste chalet.

Or, par après, Saint-Prosper a autorisé le passage de motoneiges lors de trois des quatre saisons d'activités suivantes, se prévalant des dispositions de la Loi sur les véhicules hors route.

Alléguant avoir été privé de la quiétude qu'il recherchait, et subir des troubles de voisinage, M. Boulerice a pris des procédures contre Saint-Prosper, son maire et a mis en cause le Club de motoneige de Champlain.

Par ordonnance d'injonction permanente, M. Boulerice cherchait à obtenir que Saint-Prosper interdise l'accès aux motoneigistes sur le rang Saint-Charles entre les lots où est située sa propriété, jusqu'à ce que des mesures soient prises pour faire cesser la nuisance qui résultait de la circulation des motoneiges.

Il réclamait également une condamnation de 50 000 $ contre Saint-Prosper et le maire à titre de dommages intérêts.

Me Martin Courville qui représentait Serge Boulerice, n'avait fait qu'une lecture rapide du jugement, hier en fin de journée.

«Mais ce que j'en comprends, c'est que ça va envoyer un message clair aux autres municipalités, soit que la protection offerte par l'article 87.1 de la LVHR, qui empêche d'entreprendre des poursuites, ne sera applicable que lorsque la personne visée par la poursuite aura respecté les critères de la loi. En d'autres mots, dans notre cas, la municipalité n'a pas respecté l'intégralité des obligations prévues par la loi, dont la distance, dont l'usage du sentier, dont la sécurité. Dans ce cas, on utilisait l'emprise du CN sans autorisation et sciemment. Après cela, on ne peut dire: «tu ne peux me poursuivre parce que j'ai la protection de 87.1». Ce n'est pas vrai. Alors, oui la protection existe mais les municipalités, et par extension les clubs de motoneige, doivent respecter les autres dispositions de la loi: autorisation, signalisation, etc.»

M. Courville est par contre déçu de ne pas obtenir de dommages intérêts pour son client. «On est encore en train d'étudier ça. Mais ça envoie un message clair aux municipalités qui font du copinage avec les clubs de motoneige», a-t-il conclu, quand même satisfait.

Il a été impossible de rejoindre M. Boulerice. Le maire Grosleau, par contre, estime que M. Boulerice n'a eu que partiellement gain de cause.

«C'est parce qu'on n'avait plus l'autorisation du CN de circuler sur ses emprises que le juge a considéré que nous n'avions plus un lien pour rejoindre un sentier fédéré. C'est dans cette optique qu'il a rendu son jugement.»

M. Grosleau note qu'il n'a par contre jamais craint d'être tenu responsable personnellement et de devoir payer des dommages et intérêts.


A SUIVRE ...

Juste une petite correction Coyote ! mais le Saint Prosper qu'ont fait allusion est situé à environs 30 km au nord est de trois rivières... très beau coin pour la motoneige , Pour votre information le plus gros relais de motoneige de la place ( la cabane à Roger ) a été vendu a des chinois ???? il vont peut être changer le nom pour la cabane à Roger Wonn
Je plaisante mais c'est du monde bien gentil



http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/200902/17/01-828101-des-chinois-achetent-la-cabane-chez-roger.php

Excusé pour St-Prosper, google m'a donné ce nom.

Ben oui je suis déja allé a la Cabane Woger !!!

Nouvelle de Lanaudiere !!! ils sont sensé ouvrir les sentiers pour le bien de tous ....Kristine a du leur pété une crise !!!!

Vous avez pas vu Krikri faché vous autre !!! HISHHHHHHHHH !!!!!!!!!!!!



Pour mon club AMVN de l'Outaouais le Président Jacques Fecteau m'a confirmer que la parti sud, est bien dans l'impasse. Il vas tenté avec les Hills And Gully de faire de leur mieux pour donné acces au sudiste. La parti nord comme Montpellier et Lac Simon devrais pas avoir de trouble vu la situation géographique '' montagne et boisé .... pour Mont Laurier je sais pas ? mais je crois bien qu'a la sorti de la Réserve Papineau Labelle ont devrais atteindre la track et ensuite le Club de l'Aiglon qui est boisé. Donc ont devrais s'en tirer pour cette portion de territoire.

Pour le secteur de St-Anne du lac (Laurentides) sa semble beau de la Montagne du Diable et le nord , les agriculteurs comprennent que tué le Quad et la motoneige serais se tirer dans le pied. Donc ''ont devrais etre correct pour cette parti nord.

Sa fait du bien des bonnes nouvelles

avez vous des nouvelle pour se qui est du saguenay lac st jean apart les mont valin qui eu sont ouvert cette année

Publié le 09 novembre 2010 à 08h47 | Mis à jour à 08h47


(SAINT-FÉLICIEN) Saint-Félicien est durement touchée par les moyens de pression des agriculteurs. Il sera impossible pour les motoneigistes de se rendre au coeur de la ville cet hiver.

Agrandir

Le maire de Saint-Félicien, Gilles Potvin, aimerait que Québec établisse des sentiers de motoneige permanents.

Le Quotidien, Archives
«Nous sommes isolés. Nous sommes ceinturés de terres agricoles. Il faut passer par ces terres pour atteindre le centre-ville. La seule solution sera d'utiliser la rivière Ashuapmushuan en janvier, mais encore là, ça va être seulement pour les motoneigistes locaux. Les gens provenant de l'extérieur pourront difficilement venir à Saint-Félicien», déplore le maire, Gilles Potvin.

Le magistrat ajoute qu'il sera impensable de circuler vers Normandin ou Dolbeau-Mistassini, car les pistes empruntent des terres agricoles.

«Nous devons absolument trouver une solution permanente à cette situation. Cela a créé des tensions inutiles qui braquent deux économies fragilisées l'une contre l'autre. Le tourisme hivernal est marginal et l'agriculture a des problèmes», mentionne-t-il.

Petite nouvelle du corridor sud-nord Outaouais Laurentides . Donc ! du Lac Simon vers la Réserve Papineau-Labelle et vers la track ''Parc Linéaire'' pas de trouble ...de la, vers le Club de l'aiglon et vers le Mekoos et vers Parent c'est oké !!!

Autour de l'Annonciation et Mont Laurier c'est loin d'etre sur !!! en passant 8'' de neige sur la montagne du

Alors cette portion sud/nord Lac Simon-Parent pas de trouble, mais c'est les sentiers est/ouest qui sont a probleme !!!


Alors acheté vos cartes ont vas roulé pareil

Il semblerait que nous devrons patienter jusqu'au 5 décembre avant d'avoir des nouvelles de la FQCM. Le congrès provincial de l’UPA se tiendra les 30 novembre, 1er et 2 décembre au Centre des congrès de Québec. Les négociations entre les parties ont toujours lieu et ainsi, rien présentement ne laisse présumer que la vrai saison sera comprimise. Le résultat des négociations (UPA et Gouvernement) et les résolutions votées à l’UPA seront analysés par le conseil d’administration de la FCMQ, qui doit se réunir quant à lui le 4 décembre. Donc, c'est après cette date que tout devrait débouler.

De plis, il semblerait aussi que plusieurs agriculteurs ont avisé l'UPA que lorsque viendra le début de la vrai saison, ils redonneront les droits de passage aux clubs. Ce qui explique peut-être pourquoi les clubs ont préalablement eux le droit d'y installer leur signalisation

Attendons

Oui j'ai su hier pour le meeting UPA du 5 dec


Publié le 10 novembre 2010 à 14h57 | Mis à jour à 14h57


Motoneige: l'UPA bloque les sentiers partout au Québec
La Presse


(Montréal) Les motoneigistes pouvaient déjà s'attendre à une saison chambardée cet hiver dans certaines régions de la province. Cette dernière nuance n'est plus nécessaire : l'Union des producteurs agricoles (UPA) lance un mot d'ordre national pour interdire aux motoneigistes l'accès à leurs terres agricoles sur l'ensemble du territoire québécois.
Réunis en conseil général à Longueuil, les représentants des fédérations régionales et sectorielles de l'UPA ont adopté une résolution pour retirer le privilège d'accès à leurs terres «tant et aussi longtemps que le gouvernement ne mettra pas fin à l'incertitude qui plane sur le modèle agricole québécois et les 30 000 fermes présentes partout sur le territoire».

L'UPA conteste une nouvelle mesure d'un programme d'assurance de revenus récemment réformé par le gouvernement provincial. Cette mesure mettrait en péril des milliers de fermes québécoises en situation précaire, selon l'UPA.

Le syndicat craint aussi que la nouvelle politique agricole, que le gouvernement doit déposer bientôt, ne remette en question la mise en marché collective et le monopole syndical.

Réunis en conseil général à Longueuil, hier, les 40 hauts représentants de l'UPA ont décidé d'adhérer officiellement au boycottage des véhicules hors route et de leur interdire l'accès aux terres agricoles et aux boisés.

Photothèque Le Soleil
Annie Morin
Le Soleil


(Québec) L'Union des producteurs agricoles (UPA) emboîte le pas à ses membres les plus militants et recommande la fermeture des sentiers de motoneige à la grandeur du Québec.
Réunis en conseil général à Longueuil, mardi, les 40 hauts représentants de l'UPA ont décidé d'adhérer officiellement au boycottage des véhicules hors route, et même d'en élargir la portée.

Lancée en Abitibi-Témiscamingue cet été et reprise par la plupart des régions, sauf celle de Québec, l'idée d'interdire l'accès aux terres agricoles et aux boisés est liée depuis le début à la réforme de l'assurance stabilisation du revenu agricole. Les agriculteurs ne digèrent pas une mesure de resserrement qui aurait pour effet d'amputer de 80 millions $ les sommes qui leur sont versées pour compenser la différence entre les coûts de production et les prix obtenus sur le marché.

Le conseil général de l'UPA exige maintenant une «proposition globale qui réaffirmera le contrat social avec le monde agricole» et protégera «intégralement» la mise en marché collective et le monopole syndical. À défaut de quoi les sentiers demeureront fermés.


Pourquoi ratisser si large? «Depuis le rapport Pronovost [sur l'avenir de l'agriculture], il y a un doute qui s'est installé dans la tête de nos producteurs à savoir si le gouvernement va protéger nos acquis. On n'est plus capables de vivre avec ce doute-là», a fait valoir mardi soir Christian Lacasse, président de l'UPA et producteur laitier à Saint-Vallier de Bellechasse, qui craint la disparition progressive des fermes familiales au Québec.

En 2005, le syndicat agricole avait utilisé le même moyen de pression dans l'espoir d'un règlement sur la fiscalité municipale. Une entente intervenue in extremis, à quelques jours de Noël, avait finalement sauvé la saison. Cette entente prévoyait la révision du programme de remboursement de taxes municipales et l'adoption d'un taux de taxation distinct pour les propriétés agricoles, victimes de la hausse vertigineuse des rôles d'évaluation. En contrepartie, l'UPA s'engageait à ne plus jamais fermer les sentiers de motoneige.

Promesse rappelée

Aujourd'hui, certains adeptes de la motoneige, responsables de l'industrie touristique et fonctionnaires du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) se font un plaisir de rappeler la promesse du syndicat agricole.

Christian Lacasse réplique que «le seul à ne pas avoir respecté sa signature, c'est le gouvernement», puisqu'à peine une dizaine de municipalités ont adopté un taux de taxation distinct pour le secteur agricole. «On ne se sent plus lié à cette entente-là», insiste-t-il.

Le ministre inflexible

Le ministre Laurent Lessard n'a pas voulu réagir mardi à la prise de position de l'UPA. Il a déjà dit publiquement qu'il n'avait pas l'intention de céder dans le dossier de la Financière agricole et qu'il y aurait une saison de motoneige au Québec, peu importe les moyens de pression des agriculteurs.

Ont se feras faire des Gros écusson dans le dos, avec ça ! sa vas passé partout !!!!!!!!!







Je vais m'organiser pour roulé pareil, notre terrain de jeu est tout de même très grand sans roulé sur les terres. Faut juste mieux planifié et de toute façon faire du champs ça jamais été mon fort.


Amene la neige ! ont est débrouillard ou ont l'es pas

Les gens de la FCMQ vont etre au salon du Quad.

Loll est bonne coyote

Ont feras comme dans les année 70 simonac !!!!!!!

Une victime de la fermeture des sentiers de motoneige


Le Club sportif populaire du Bas-St-Laurent subit les effets collatéraux de la fermeture des sentiers.


Dimanche 14 novembre 2010 - En effet, c’est avec regret que le club de motoneige doit accepter la démission du Conseil d’administration de M. Steve Gaudreau qui agissait à titre de président pour le club de motoneige. Le conflit entre l’UPA et le gouvernement plaçait l’ex-président dans une position délicate entre la survie de son entreprise et la position que doit défendre le Club à long terme dans ce conflit. La décision de M.Gaudreau a été prise unilatéralement. Par respect pour M.Gaudreau, tous les membres du conseil d’administration se sont résolus à respecter son choix.

M.Gaudreau a toujours défendu ardemment la position de la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec (FCMQ) et du club de motoneige dans tous les dossiers où il a fait des représentations.

M. Clément Boutin, vice-président, a accepté de prendre la relève comme président du Club Sportif Populaire du Bas-St-Laurent inc. M. Boutin s’implique comme bénévole dans l’organisation depuis 1997.


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Pour informations :

Denis Langevin
418-722-6003 ou 418-722-1482
Club sportif populaire du Bas-St-Laurent inc
C.P. 4 Rimouski QC G5L 7B7

J'ai discuté avec différent porte parole de la FCMQ, de certaine régions touristique, du Ministère du Transport et autre intervenant du milieu.


1. Soyez sans crainte ont vas roulé cette hiver dans la majorité des régions. un exemple précis ! la haute Mauricie qui n'ont aucun agriculteur donc ouvert a 100% pour cette région, la Mauricie vas émettre un avis sur leur site. Outaouais, Laurentides et Lanaudiere vont etre ouvert dans tout les secteur boisé, sûrement les autres régions aussi, ''je parle de ceux que je sais ''.


2. Les régions qui sont dans la vallée du St-Laurent et qui bien sur en partie agricole, sont bien sûr pris avec les négos de l'UPA ... par contre beaucoup de club ont déjà planté les piquets pour être justement prêt aussitôt ce conflit terminé. C'est pas tous les agriculteur qui penche pour l'UPA et dans certaine zone, même si vous voyez un champs, cela ne veut pas dire que le proprios ne nous laisserons pas passé. SURTOUT QUAND TOUT SERA RÉGLÉ N'ALLEZ PAS FAIRE DE GAFFES SUR LEUR TERRES. Sinon ! la, sa vas etre bien pire pour les années future.

3. j'ai acheté ma passe ce matin et pour ma routine de roulé avec trailer et les endroits ou je vais habituellement , j'aurais très peu de restrictions.

4. Mere nature ! envoie ta neige !!!!!!!!!

L'UPA et les CONSÉQUENCES


Fermeture des sentiers de motoneige par l'UPA: un président de club démissionne

Avec l'interdiction d'accès aux sentiers, certains propriétaires d'entreprises de location de motoneige devront trouver des solutions de rechange. Par exemple, offrir des randonnées hors piste.

Photothèque Le Soleil
Carl Thériault, collaboration spéciale
Le Soleil


(Rimouski) Steve Gaudreau n'attendra pas que la neige tombe en abondance pour sauver son entreprise de location de motoneige, Panda Aventures, de Rimouski, qui lutte pour sa survie.
L'homme d'affaires vient de démissionner - à contrecoeur - de la présidence du Club sportif populaire du Bas-Saint-Laurent, qui soutient l'UPA dans son interdiction de passage des motoneiges sur les terres privées des producteurs agricoles.

«Soixante pour cent du chiffre d'affaires de mon entreprise est de louer des motoneiges l'hiver. Je voulais me donner la liberté de faire ce que je voulais au cours des prochaines semaines pour mon entreprise qui est en mode survie. Un groupe de Français s'informait en fin de semaine de ce qui se passait. Je ne pourrai pas les faire attendre indéfiniment.



«Je connais des stations d'essence dans des villages qui risquent de fermer ainsi que leurs petits restaurants en plein milieu agricole. C'est dommage que les gens de l'UPA aient choisi ce moyen de pression», dit Steve Gaudreau. «Je n'écarte aucune avenue pour la survie de mon entreprise. Il y a de la motoneige hors piste, le centre de la Gaspésie qui va être accessible... On verra.»

Le porte-parole du Club sportif populaire de Rimouski, Denis Langevin, comprend la position de Steve Gaudreau. Les sentiers du club passent à 80 % sur des terres privées appartenant à des producteurs agricoles.


«Les cartes de membres ne se vendent pas, mais nous avons encore quelques semaines de délai. Il y a le congrès provincial de l'UPA à la fin de novembre et au début de décembre où le ministre de l'Agriculture prononcera un discours.»

Dans l'Est-du-Québec, les fédérations de l'UPA de la Côte-du-Sud ont fermé leurs sentiers, ce qui n'est pas le cas dans la région de Québec.

Importantes retombées

Les agriculteurs québécois entendent forcer Québec à faire marche arrière relativement à l'imposition d'une mesure d'efficacité reliée au programme d'assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA). La Financière agricole du Québec veut retrancher 25 % des producteurs les moins performants du calcul des coûts de production.

Dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent, les retombées économiques de la motoneige sont estimées en 2008 à 21 millions $.


L'Hôtel Rimouski évalue à 100 000 $ l'apport financier lié à la venue des motoneigistes dans ses installations. Au Motel universel de Rivière-du-Loup, bon an, mal an, la présence des motoneigistes correspond à 2000 nuitées. Le mois de février est le troisième plus important mois de l'année pour cet établissement.
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Le Soleil


(Québec) Le ministère des Transports du Québec (MTQ) propose aux clubs de motoneigistes de revoir la carte des sentiers de véhicules hors route pour contourner l'interdiction de circuler sur les terres agricoles.
La Fédération des clubs de motoneigistes du Québec (FCMQ) a reçu l'invitation du ministre délégué aux Transports, Norm MacMillan, la semaine dernière. C'était avant la prise de position officielle de l'Union des producteurs agricoles (UPA), qui s'attend désormais à ce que tous ses membres, où qu'ils se trouvent dans la province, bloquent l'accès à leurs terres.

«On nous a demandé de voir s'il y a des sentiers alternatifs qui pourraient être utilisés pour permettre l'interconnexion dans les zones où c'est fermé», explique Jean Duchesne, directeur général adjoint de la FCMQ, précisant qu'«il n'y a pas d'actions concrètes qui ont été prises» pour l'instant. Dans certaines régions, dont le Saguenay-Lac-Saint-Jean et l'Outaouais, des clubs ont pourtant annoncé que des voies de contournement étaient déjà trouvées et qu'ils allaient accueillir les motoneigistes dès que le couvert de neige sera suffisant.

M. Duchesne y voit l'exception à la règle, car, rappelle-t-il, «on ne peut pas se mettre à passer où on veut», surtout pas sur le réseau routier. Même sur les terres publiques ou les emprises d'Hydro-Québec, une autorisation gouvernementale est requise pour circuler. Il faut ensuite préparer les sentiers, les baliser, les entretenir. Tout ça avant la mi-décembre, qui marque habituellement le début de la saison dans plusieurs régions.


Assurer la sécurité

Émilie Rouleau, porte-parole de Norm MacMillan, affirme que les plans des régions seront étudiés «au cas par cas» et rapidement, avec l'espoir de sauver la saison. Son collègue au Ministère, Guillaume Beaurivage, ajoute que l'opération a aussi pour but d'assurer la sécurité des motoneigistes.

«On a noté que la majorité des accidents surviennent hors sentier. C'est donc une préoccupation de faire, par quelque moyen que ce soit, des sentiers» cet hiver.

Patrick Boucher, président de l'Association des motoneigistes du Québec, qui regroupe les particuliers plutôt que les clubs, accueille positivement l'aide du MTQ et plaide pour qu'un maximum de tronçons demeurent ouverts. Il convient toutefois que certaines régions du Québec dépendent davantage de la bonne humeur des agriculteurs et qu'il serait surprenant que le réseau soit fonctionnel à la grandeur de la province.

«On peut en douter, même si on l'espère», dit-il, assurant que le mot d'ordre de l'UPA sera respecté.

«Ce n'est pas de gaieté de coeur qu'on contournerait les terres agricoles. On est obligés de prendre position quasiment en faisant ça. Mais d'un autre côté, si on ne fait rien, que la situation se détériore et que des clubs ne peuvent pas ouvrir, ils vont faire face à des obligations financières qu'ils ne pourront pas assumer», ajoute Jean Duchesne.Dirigés par des bénévoles, les clubs comptent en effet sur les cotisations des randonneurs pour payer la coûteuse machinerie qui permet d'entretenir les sentiers.
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L'Assurance Stabilisation des Revenus Agricoles (ASRA) fait couler beaucoup d'encre.

Mais au fait, pourquoi réforme-t-on l'ASRA? Cette histoire commence en 1998 lors du sommet de St-Hyacinthe où étaient réunis, Laurent Pellerin, président de l'UPA à l'époque, Lucien Bouchard ancien premier ministre et l'industrie agricole.

Sous le thème de «la conquête des marchés» ils visent doubler les exportations agricoles avec le porc comme fer de lance. Le résultat ne se fait pas attendre, car le cheptel porcin passera de 3 800 000 têtes en 1998 à près de 8 000 000 en 2003. Qui dit porc, dit céréale. On a donc pu voir les céréales, surtout le maïs, suivre la même courbe à la hausse.

Mais plusieurs personnes, non invitées à ce sommet, avaient prédit la chute du prix du porc et surtout l'incapacité du Québec à produire un porc de commodité concurrentiel en raison de sa situation nordique. C'est effectivement ce qui s'est produit, car le porc, comme le maïs, a chuté...demeurant déficitaire presque chaque année depuis 12 ans.

La beauté de la chose c'est que ces deux productions sont sous ASRA... donc lorsque le marché est plus bas que le coût de production...l'état vous rembourse la différence au 2/3. Eh bien, la formule était si bonne que la Financière agricole s'est endettée de plus 1 milliard de dollars en raison des coûts de remboursement de l'ASRA qui ont littéralement implosé. Tous auront compris que cette dette de 1 milliard sera remboursée autant par les motoneigistes, les agriculteurs que le reste de la population.

Il faut rajouter à cela un autre élément. L'UPA et ses fédérations ont augmenté leurs prélevés dans chaque secteur sous ASRA presque annuellement, faisant ainsi augmenter les coûts de production. Ces prélevés, fixés par le syndicat seul, sont remboursés aux 2/3 par l'ASRA lors des années déficitaires.

Finalement, comment passer sous silence que l'UPA détenait le contrôle de la Financière agricole depuis sa fondation jusqu'à récemment. Elle en avait la présidence de façon automatique en plus de posséder la moitié des sièges au conseil d'administration. Donc elle a pu voir se creuser, année après année, le gouffre de l'ASRA sans intervenir pour corriger le tir.

Les clubs de motoneigistes en mode urgence

«On va continuer à faire ce qu’on a toujours fait dans le passé, c'est-à-dire qu’on respectera la décision du producteur agricole mais pour ce qui est du blocus de l’UPA, on n’a pas l’intention de supporter ça.»

Sujets :
UPA , FCMQ , Fédération des clubs , Mauricie , Québec , Lac-aux-Sables

Vice-président de la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec (FCMQ), Jean-Claude Tessier n’a pas l’intention de faire sien le combat mené par le syndicat des agriculteurs qui exige de ses membres qu’ils interdisent le passage des sentiers sur leurs terres.

«Maintenant que l’UPA durcit encore plus le ton face au gouvernement, on passe à un mode d’urgence parce que c’est bien évident qu’ils ne s’entendront pas avant l’arrivée de l’hiver.»

Le résident de Lac-aux-Sables explique qu’en Mauricie, 60% des sentiers se retrouvent déjà sur des terres publiques, tout particulièrement dans la partie nord de la région. À partir de maintenant, chaque direction régionale de la FCMQ a donné le mandat à leurs clubs locaux d’identifier les corridors potentiels susceptibles d’être utilisés cet hiver.

Ici en Mauricie, les représentants des clubs vont rencontrer la Conférence régionale des élus (CRÉ) de la Mauricie et l’Unité régionale du loisir et du sport de la Mauricie (URLSM) afin qu’elles sensibilisent à leur tour leurs membres sur l’importance de l’industrie de la motoneige dans la région.

«Une municipalité pourrait par exemple autoriser un club à faire passer une partie d’un sentier dans un rang pour relier deux terres publiques», explique Jean-Claude Tessier. Le vice-président de la FCMQ croit qu’en combinant ces passages à des terrains appartenant à Hydro-Québec ou à Gaz Métropolitain par exemple, on pourrait recréer environ 75% des sentiers traditionnellement empruntés. Et puis ajoute-t-il, le mot d’ordre du syndicat agricole n’est pas suivi par tous ses membres.

Si la colère gronde à l’UPA, M. Tessier laisse entendre qu’il ne faut pas s’attendre à mieux de son côté. «90 000 motoneigistes frustrés, ce n’est pas un cadeau non plus, avertit-il. Ça ne serait pas mieux si ça vire free for all et que les motoneiges se mettent à circuler partout en dehors des sentiers. Il faudrait rappeler à l’UPA que c’est elle, il y a quarante ans, qui a demandé qu’on mette en place des circuits parce que certains motoneigistes à l’époque coupaient les fils de clôture pour pouvoir circuler.»

Selon les dernières données, plus de 8000 motoneigistes utilisent les sentiers de la Mauricie et du Centre-du-Québec, générant par le fait même plus de 75 millions$ de retombées économiques, principalement dans les milieux ruraux et en forêt.

«Ne venez pas me dire que ce sont les 300 personnes qui habitent à Saint-Joseph-de-Mékinac qui font qu’on retrouve deux restaurants dans le village», termine M. Tessier.



http://www.lhebdomekinacdeschenaux.com/Actualit%C3%A9s/Actualit%C3%A9s%20r%C3%A9gionales/2010-11-15/article-1965918/Les-clubs-de-motoneigistes-en-mode-urgence/1




ETK, Ce M. Tessier ne semble pas avoir la langue dans sa poche

Bonne infos RémiS



Aussi une info importante de Lanaudiere


Bonjour!

Tourisme Lanaudière vous rappelle que plus de 1 500 kilomètres de sentiers motoneige seront ouverts cet hiver dans Lanaudière, peu importe l’issue des négociations entre l’UPA et le gouvernement.

Merci!

Tourisme Lanaudière
450 834-2535 / 1 800 363-2788

a tous ceux qui travaille fort pour nous donné le maximum de sentiers !!!

c'est bon ca

de toute facon coyote c'est meme chialeux vont dire que le crotin de cheval va polué l'environnement ou que la nappe fréatique sera atteint .les autos conduite par des calottes a l'envers avec des silentieux(mon oeil silentieux)modifié pour faire le plus de bruit possible passe devant ma maison a 20 pieds l'été y faut que je ferme ma porte patios dans ma chambre pour dormir, sa y a pas de trouble c'est l,égal a fond car les police ne les arretes pas pis les harley aussi son full légale coudon,on send prend toujours a mauvaise personne.au qubec on se laisse toujours manger la l'aine sur le dos.pis personne fait rien si on serait en france il y aurait 20.000 personne dans rue en avant du parlement pour réagir ici tous le monde chiale pis personne fait rien.qu'est ce qu'on attant bordel de m....